LES BLESSURES DU SPORT
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.http://www.doctissimo.fr/html/sante/encyclopedie/sa_811_crampes.htm
[?] Qu'est-ce que c'est ?
La crampe musculaire est une contraction soudaine, intense, involontaire et passagère d'une partie ou de la totalité d'un muscle. Sa durée est variable, généralement brève.
[?] Causes et facteurs de risque
Les crampes peuvent survenir de façon inopinée ou être déclenchée par une contraction musculaire à l'occasion d'un effort comportant un raccourcissement musculaire.
La survenue de crampes musculaires est en général un phénomène bénin, survenant au repos (notamment la nuit, touchant fréquemment les muscles de la jambe) ou à l'effort.
De nombreux facteurs sont connus pour favoriser la survenue de crampes musculaires :
- La grossesse, la pilule ;
- Les états de déshydratation (coups de chaleur, sueurs profuses, vomissements, diarrhée) ;
- La dialyse de l'insuffisance rénale chronique ;
- L'abus d'excitants (café, thé), les toxicomanies ;
- Le froid.
Enfin, lorsque les crampes sont fréquentes, invalidantes, de localisation inhabituelle ou de durée prolongée, elles peuvent être un symptôme d'une maladie sous-jacente :
les maladies neurologiques touchant les nerfs périphériques (tétanie, sclérose latérale amyotrophique, sclérose en plaque, poliomyélite, maladie de Parkinson, atteinte nerveuse suite à la prise de certains médicaments, d'alcool ou à l'exposition à certains toxiques).
- Certaines maladies hormonales telles que le myxoedème, la maladie d'Addison, le diabète.
certains troubles sanguins comme des anomalies du potassium, du magnésium , du calcium ou du phosphore). Ces troubles métaboliques peuvent survenir isolément ou être le plus souvent eux-mêmes révélateurs d'une maladie sous-jacente.
- Certaines maladies cardiovasculaires : cardiopathie, varices des membres inférieurs, artérites, maladie de Raynaud ;
- Les causes infectieuses : maladies virales (grippe), tétanos...
- Les causes orthopédiques : crampes sous plâtre, crampes survenant lors de la rééducation, déchirures musculaires, fractures, luxations, rhumatismes.
[?] Les signes de la maladie
Lorsque la crampe survient, elle est généralement visible et palpable et cesse en général lors de l'élongation du muscle.
[?] La consultation
Il est surtout utile pour retrouver des éléments en faveur d'une maladie sous-jacente responsable des crampes musculaires.
[?] Examens et analyses complémentaires
Dans la majorité des cas, ils sont inutiles.
En revanche, des explorations biologiques ou radiologiques peuvent être utiles si le médecin soupçonne l'existence d'une maladie sous-jacente responsable des crampes musculaires.
[?] Evolution de la maladie
Elles est bénigne dans la plupart des cas ou dépend de la maladie sous-jacente.
http://www.doctissimo.fr/html/forme/mag_2000/mag1201/fo_3082_crampe.htm
Crampe quand tu nous tiens !
Quel sportif n'a pas brutalement été interrompu dans l'effort par une crampe, plaqué au sol une douleur intense dans le mollet ? Séance d'entraînement stoppée ou compétition gâchée, vous cauchemarderez les nuits suivantes en revoyant votre concurrent passer gaillardement devant vous...
Pour enfoncer le clou, la crampe pourrait même avoir l'audace de vous réveiller en pleine nuit. Rassurez-vous des solutions préventives ou thérapeutiques existent. Contraction douloureuse, involontaire, intense et brutale d'un muscle ou d'un groupe musculaire, la crampe arrive toujours au mauvais moment. C'est en comprenant son processus de déclenchement que l'on peut la combattre.
Pas de repos pour les crampes !
La crampe peut se manifester à quatre phases différentes de la gestion de l'effort physique.
P endant l'échauffement ;
Au début de l'exercice, lorsque les muscles commencent à être mobilisés et fortement sollicités ;
A la fin de l'entraînement quand le corps ressent une certaine fatigue ;
Pendant la récupération, quelques heures après l'exercice physique, généralement durant la nuit.
A l'origine, un environnement inadapté à l'effort
Les facteurs déclenchant de la crampe sont nombreux et se combinent en général chez une même personne.
Le défaut d'hydratation favorise très fortement l'apparition de crampes. Il est fréquent, dans le feux de l'action et de l'effort, d'oublier de s'hydrater correctement.
La perte en sodium et en sels minéraux à travers la sueur, si elle n'est pas compensée, est également un déterminant de leur apparition.
L'utilisation de matériel inadapté au sport pratiqué est également un facteur déclenchant : des baskets mal compensées, des chaussures de montagne trop serrés, des bottes de cavaliers qui compriment les mollets, un manche de raquette trop petit. Tout mouvement répétitif réalisé dans de mauvaises conditions (mauvais matériel ou mauvaise technique) est susceptible d'entraîner une crampe.
L'absence d'échauffement ou l'insuffisance d'étirement avant un effort physique sportif, le manque de préparation physique adéquate et la fatigue, sont des causes classiques de crampes à l'effort.
Les solutions préventives à adopter d'urgence
Avant l'exercice :
Respecter l'échauffement qui doit être d'une durée de 20 minutes. Il faut suivre scrupuleusement cette phase préparatoire qui a pour rôle "d'optimiser" les performances de l'appareil musculaire et locomoteur en orientant les fonctions de l'organisme vers l'effort (respiration, rythme cardiaque, sécrétion d'hormones, acheminement d'oxygène et de sucre…)
Veiller à avoir un matériel et des chaussures adaptées à votre type de sport (adressez-vous à des vendeurs spécialisés pour vérifier leur spécificité) et modifier la technologie ou le réglage du matériel en cas de besoin : si vous pratiquez le cyclisme, réglez correctement la hauteur de la selle et la longueur du cadre.
Anticiper les besoins en hydratation et boire de l'eau suffisamment minéralisée et sucrée
Pendant l'exercice :
S'hydrater régulièrement, avant d'avoir soif et par petites gorgées, avec une eau minéralisée et sucrée.
Développer un effort en rapport avec ses capacités physiques. Les séances d'entraînement doivent être progressives dans leur intensité et leur volume.
Après l'exercice : continuer à s'hydrater régulièrement. Une eau gazeuse riche en bicarbonate aidera à combattre l'acide lactique produit pendant l'effort au niveau du muscle.
http://www.doctissimo.fr/html/forme/mag_2000/mag1201/fo_3082_crampe_02.htm
Le cas particulier des nageurs
Les crampes des nageurs apparaissent en dehors de tout effort violent. Ces crampes sont localisées au niveau des orteils ou des mollets. Leur origine peut être rapportée à la mise en situation d'apesanteur du corps et à une perte des repères kinesthésiques (sensibilité profonde des muscles). En prévention, si l'eau est froide, il est conseillé de se mouiller progressivement et de pratiquer dans l'eau des mouvements de faible intensité et de faible vitesse.
Prévenir les crampes qui nous réveillent
Pendant l'activité physique, le retour veineux est stimulé et permet l'élimination des déchets de produits acides par les reins ou la peau. La nuit, en revanche, lorsque le corps est au repos, les toxines accumulées dans le sang stagnent déclenchant la crampe. La solution la plus simple pour réduire ce risque de réveil douloureux est relever le bas du lit…et de boire de l'eau suffisamment.
Conduite à tenir en cas de crampe
Eviter les mouvements brusques du membre touché ;
Masser avec douceur le muscle atteint et étirer doucement le muscle en étendant le membre. Le mollet comme le pied par exemple seront étirés en poussant le bout du pied vers le haut. Cet étirement doit être lent, progressif et maintenu ;
Un massage doux avec pommade sédative peut compléter ces gestes: Algipan, Décontractil baume ;
Ne pas chercher à recommencer l'effort : prendre du repos ;
Boire de l'eau sucrée et minéralisée.
En cas de fréquence importante de l'apparition de crampes, une consultation médicale est nécessaire.
Thierry Albert
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http://www.doctissimo.fr/html/sante/mag_2002/sem02/mag0823/dossier/sa_5819_claquages_elongation.htm
Elongations, claquages et déchirures
Les sportifs de haut niveau ne sont pas les seules victimes de traumatismes musculaires. Et il faut savoir que si les élongations et les claquages sont réputés réversibles, les déchirures et les désinsertions ne le sont pas totalement. L'ennemi numéro un reste la formation d'un hématome, parfois à distance de la lésion.
Footballeurs professionnels ou sportifs du dimanche, un claquage ou une déchirure n'est pas à prendre à la légère.
Circonstances de survenue et mécanismes lésionnels
Parfois ponctuée par un claquement sonore, ces lésions interviennent après une contusion sur un muscle en extension ou après une contraction aiguë.
Les claquages, véritables ruptures, auxquels nous ont habitués nos athlètes surviennent le plus souvent sur des muscles extrêmement développés : celui de la cuisse (déchirure du quadriceps) chez le footballeur - de la jambe (triceps sural) au cours de sports privilégiant le saut. Mais certaines élongations peuvent aussi se manifester dans la vie courante. La prévention peut toutefois jouer un grand rôle.
Ainsi, les danseurs professionnels par exemple sont moins exposés à ce type de traumatisme que d'autres sportifs. L'explication réside dans les multiples étirements et échauffements auxquels ils se livrent avant toute activité. Ils sont en revanche plus menacés par les tendinites et les lésions articulaires.
Les lésions qui se produisent à la jonction des fibres musculaires et tendineuses sont plus problématiques en raison des difficultés de traitement qu'elles soulèvent.
Diagnostic
Une même lésion peut, au stade aigu, se manifester par un simple point douloureux jusqu'à une impotence totale, c'est pourquoi le diagnostic n'est pas toujours aisé pour le médecin.
- Place de l'échographie : outil de diagnostic et de surveillance .
Le diagnostic s'appuie aujourd'hui sur l'échographie recommandée dans la semaine qui suit la lésion. Entreprise trop précocement, elle ne permet pas de repérer la survenue de complications et notamment celle de l'hématome, facteur d'ossification, d'adhérences et de fibrose.
Elle sera répétée régulièrement dans un but de surveillance et de détection de tout phénomène fibreux. La hantise des lésions chroniques mise en évidence par la présence d'éléments fibreux incite les chirurgiens orthopédistes et les médecins du sport à se montrer attentifs à ce type d'évolution, source de récidives.
La recherche de l'hématome, ennemi numéro un, devient une priorité et nécessite d'être évacué au plus vite par une ponction (le plus souvent guidée par l'échographie) ou par un geste chirurgical. L'imagerie par résonance magnétique (IRM) est réservée aux cas douteux et aux lésions chroniques.
Thérapeutique : priorité au froid et à la cryothérapie
Appliquer du froid est le geste à entreprendre, immédiatement après toute lésion musculaire. Il requiert un maximum de précaution pour ne pas favoriser l'apparition d'un oedème en raison d'une application trop intense.
L'application d'une poche de glace, accompagnée d'un mouvement compressif permet de diminuer les risques d'apparition d'un hématome. En revanche, il faut proscrire dans un premier temps, tout massage, qui peut se révéler source d'ossification. On recommande en période de récupération une électrostimulation des masses musculaires par le kinésithérapeute : les courants doux excito-moteurs sont réputés favoriser la cicatrisation orientée des fibres musculaires.
Toute chirurgie mise à part, le traitement combine habituellement :
- Immobilisation ;
- Cryothérapie (traitement par le froid) ;
- Physiothérapie douce proposant une mobilisation sans mise en tension destinée à restaurer l'élasticité musculaire ;
- La pratique d'étirements doux favorise l'orientation de la cicatrisation musculaire, et diminue le risque de fibrose.
Dans les premiers jours, il ne faut pas prescrire de myorelaxants (médicaments décontractants musculaires) ni d'aspirine susceptible de faire saigner et ne conserver que des antalgiques pour calmer la douleur.
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http://www.doctissimo.fr/html/dossiers/sports/muscles-accidents.htm
Accidents
Attention aux muscles !
Quel sportif n'a jamais été brutalement interrompu par des douleurs musculaires ? Le muscle en pleine contraction est un ensemble puissant et fragile en même temps. Crampes, contusions, élongations, claquage, déchirures… Doctissimo passe en revue ces traumatismes.
Muscles en souffrance
Plus que celle de Jupiter, la cuisse de Zinedine Zidane avait précipité la déroute du Mondial 2002. Mais les sportifs de haut niveau ne sont pas les seules victimes de ces traumatismes. Zoom sur ces fibres musculaires et leurs ennemis.
Crampe quand tu nous tiens !
Elongation, claquage et déchirure *
Muscles en souffrance : de la contusion à la déchirure profonde
Sports de plage : gare à l'accident !
Des contacts et des sites pour aller plus loin
geste d'urgence
doc TV
Prendre soin de ses articulations et de ses muscles au quotidien
Rappels anatomiques
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Membres supérieurs : vue antérieure et vue postérieure
Membres inférieurs : vue antérieure et vue postérieure
Tous les secrets des muscles
notre dossier
Premiers secours : des gestes qui sauvent |
forums
Accidents sportifs
Le sport, c'est la santé
* Les fiches marquées d'un astérisque ont été réalisées par la SO.F.C.O.T
(Société française de chirurgie orthopédique et traumatologique)
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http://www.doctissimo.fr/html/sante/urgence/sa_921_t_sportif.htm
Les accidents sportifs
Le sport, c'est bon pour la santé ! Mais parfois, du sportif du dimanche au professionnel, quelques traumatismes peuvent apparaître. Du petit bobo à la grosse fracture, le point sur les gestes d'urgences à effectuer face à des accidents sportifs.
En dehors du squelette, les accidents sportifs touchent essentiellement les parties molles (muscles, ligaments, etc.). Ainsi, les muscles peuvent être déchirés de manière plus ou moins complète. Les conséquences sont alors très voisines des accidents du squelette.
Les contusions musculaires
Ces lésions musculaires sont consécutives à un traumatisme direct et sans plaie. Une douleur vive, des mouvements "limités", l'apparition d'un hématome : ces signes doivent vous alerter.
La conduite à tenir est simple : appliquer du froid (aérosols de "froid", torchons ou vessie de caoutchouc remplis de glace.) et rester au repos.
Les élongations musculaires
Cette lésion musculaire, consécutive à l'allongement d'un muscle au-delà de ses possibilités d'extension, se traduit essentiellement par une douleur localisée.
Cesser alors l'activité sportive et appliquer du froid.
La rupture musculaire ou claquage
Cette distension excessive d'un muscle survient brutalement lors d'un effort musculaire. En cas de mauvaise préparation à l'effort musculaire, la probabilité que cet accident survienne à froid est plus grande.
La douleur est fulgurante et l'impotence impose l'arrêt de l'activité. Consulter alors un médecin spécialisé du sport, rester impérativement au repos et appliquer du froid.
Les courbatures
Les courbatures sont une réaction normale à l'effort musculaire. Elles entraînent spontanément une baisse notable de l'activité physique.
On préconise alors un réchauffement, par bain chaud par exemple.
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Si le froid est autant utilisé en cas d'accidents sportifs, c'est pour son action contre la douleur et ses effets sur la constitution des hématomes. |
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Le froid peut revêtir plusieurs formes : il existe des "bombes de froid", des vessie de caoutchouc qu'on remplit de glace, des sachets de froid à accumulation… |
La meilleure prévention réside dans l'entraînement et l'exercice musculaire régulier. Surmenage musculaire et mauvaise préparation physique sont, rappelons-le, les principales causes d'accidents sportifs d'origine non traumatique.
Dr Pascal Cassan
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http://www.doctissimo.fr/html/sante/mauxquot/sa_1027_muscles_traumas_011.htm
Muscles en souffrance : de la contusion à la déchirure profonde
Le muscle en pleine contraction est un ensemble puissant et fragile en même temps. Les chocs qui l'affectent sont externes (contusions) ou internes (élongations, claquages, déchirures).
Le terme commun de tous ces incidents est d'ordre thérapeutique : prudence, arrêt de l'effort, repos et soins particuliers suivant la gravité des lésions.
La contusion externe
C'est la béquille : coup reçu sur un muscle en phase de contraction. Les fibres musculaires peuvent être lésées sur des profondeurs variables.
Au maximum, l'accident peut équivaloir à une déchirure.
L'élongation
Elle survient sur un muscle mal échauffé, soumis à un effort trop rapide ou violent.
Le muscle n'est pas lésé gravement. Il n'y a pas d'hémorragie. Il est simplement étiré.
La douleur est vive mais disparait au repos.
Ce qu'il faut faire :
Suspendre l'effort ;
Imposer un repos de trois ou quatre jours.
Le claquage
Le claquage se situe à un niveau de choc supérieur. Quelques fibres musculaires sont rompues.
La douleur est vive et la mobilisation est presque impossible.
Un point douloureux peut être retrouvé à l'endroit précis de la lésion. Il correspond au site d'un hématome, entre les fibres lésées.
Ce qu'il faut faire
Arrêter immédiatement tout effort ;
Appliquer de la glace ;
Compresser le muscle par bandage et suréléver le membre ;
Imposer un repos jusqu'à la cicatrisation complète ;
Bénéficier de soins spécifiques par un kiné spécialisé ;
Ne pas prendre d'aspirine : celle-ci augmente le risque de saignement.
La déchirure
C'est la lésion la plus intense et elle est potentiellement grave.
La douleur est intense, "foudroyant" le sportif en pleine action.
La mobilisation est impossible.
L'hématome se traduit souvent par une ecchymose violette. Le volume du membre peut être augmenté.
Différencier un diagnostic de claquage ou de déchirure peut être accéléré par des techniques radiologiques comme l'imagerie à résonance magnétique (IRM).
Ce qu'il faut faire
Le repos est absolu ;
L'immobilisation est parfois nécessaire ;
Il faut attendre la cicatrisation complète avant d'entreprendre une rééducation. Cela peut prendre plusieurs semaines.
Le mode d'action de la glace
Le froid entraîne une vaso-constriction avec chute du débit sanguin et réduction de l'hémorragie dans les tissus ;
Il ralentit le fonctionnement des cellules, donc leur destruction ;
Il diminue la douleur et les spasmes musculaires.
Attention : il ne faut pas laisser une vessie de glace plus d'une dizaine de minutes sur un muscle blessé, sous peine d'obtenir l'effet inverse. Il faut donc faire des pauses en alternance avec l'application de la glace.
Dr Alain Dubos
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http://www.doctissimo.fr/html/dossiers/urgences.htm
SECOURISME
Premiers secours : des gestes qui sauvent
Chaque année, 10 000 vies pourraient être épargnées si une personne sur 5 connaissait les gestes d'urgence. Mais malheureusement, moins de 7 % des Français se forment chaque année aux premiers secours. Quels sont ces gestes qui sauvent ? Comment réagir face à un accident à la maison, au travail ou sur la route ? Un dossier à lire d'urgence !
Publicité (function() { ADGEAR_SOURCE_CLICKTRACKER = "http://ib.adnxs.com/click?8pcW9UkOAUDylxb1SQ4BQAAAAKAaLwdA8pcW9UkOAUDylxb1SQ4BQD3Qq1SS_xM1KR7gCFxO7VdkZhhPAAAAAM0SBgBNAgAATQIAAAIAAABmwRIAJYEAAAEAAABVU0QAVVNEACwB-gBCRwAAYwwAAgMCAQUAAIIA_x0jpwAAAAA./cnd=!BwVOLAjn4g0Q5oJLGKWCAiAE/referrer=http%3A%2F%2Fwww.doctissimo.fr%2Fhtml%2Fdossiers%2Furgences.htm/clickenc="; ADGEAR_SOURCE_CLICKTRACKER_EXPECTS_ENCODED = false; ADGEAR_SOURCE_CLICKTRACKER_IS_ENCODED = false; ADGEAR_SOURCE_CLICKTRACKER_IS_DOUBLE_ENCODED = false; var randomnum = "1326999140"; var proto = "http:"; if (window.location.protocol == "https:") proto = "https:"; if (randomnum.substring(0,2) == "__") randomnum = String(Math.random()); document.writeln('De la théorie à la pratique
Un sondage effectué en septembre 2000 par la SOFRES à la demande de la Croix-Rouge Française a montré que nos concitoyens sont sensibilisés à ce problème : 93 % d'entre eux jugent qu'il est “important” de se former aux premiers secours. Pourtant, moins de 7 % des Français sont initiés à l'urgence. Quelles sont les raisons de ce retard national ? Où peut-on se former ?
Défibrillateur cardiaque : 4 minutes pour sauver des vies !
Généralisation des défibrillateurs : il y a urgence !
Pourquoi apprendre les gestes qui sauvent ?
Gestes d'urgences : où se former ?
Les raisons du retard français
Apprendre les gestes d'urgence dès l'école
Des défibrillateurs externes en vente libre ?
Les gestes indispensables
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A la maison ou au travail
Cinq millions de personnes sont victimes d'un accident de la vie courante chaque année. Parmi elles, on compte un million d'enfants. Responsables de 15 000 morts, les accidents domestiques sont également la première cause de mortalité pour les enfants de 0 à 4 ans (500 victimes par an). Les accidents du travail sont responsables de 1 000 morts par an. La moitié de ces tragédies pourraient être évitée si une personne connaissant les gestes qui sauvent intervenait.
A l'extérieur ou sur la route
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Attention, activités à risques !
Piscine, barbecue. certaines activités cachent parfois de nombreux dangers. Avant de partir en randonnée ou à la plage, apprenez à déjouer les pièges qui peuvent transformer ces moments de détente en scénario catastrophe.
Barbecues, évitez l'alcool à brûler !
L'été de tous les dangers
L'été à la montagne
Le mal des montagnes
La plage, c'est pas le pied !
Piscine : n'oubliez pas les précautions indispensables !
Piscine, plage et surveillance
Adoptez les réflexes anti-noyade !
Le syndrome d'écrasement
Vacances : attention aux accidents domestiques et de loisirs
Champignons : ne faites pas d'erreur !
Pas de garrot quand on est mordu par une vipère
Il faut mettre de l'eau fraîche sur les brûlures
Les fonctions vitales de l'organisme
![]() |
L'appareil respiratoire
Le coeur, cette pompe extraordinaire
Le système nerveux
Le cerveau, le plus mystérieux de nos organes
La peau, plus qu'une simple barrière
Le rôle de l'appareil digestif
Accidents de la main : Une mobilisation nationale des chirurgiens
Premier centre d'expertise de la mort subite de l'adulte
Epiglottite
Eclaboussure chimique dans l'oeil
Corps étranger dans l'oeil
Déshydratation
Croix-Rouge
Fédération Nationale de Protection Civile (FNPC)
Protection Civile de Paris
Annu-secours, l'annuaire francophone des sites secouristes
Se former aux premiers secours pédiatriques
Les secours pédiatriques en images
Avertissement : Les articles de ce dossier vous permettront d'adopter un comportement utile pour les victimes. Cependant, pour bien effectuer certains gestes, il est indispensable de suivre une formation de secouriste diplômé. Pour suivre un tel enseignement, vous pouvez consulter les sites de la Croix-Rouge ou de la Fédération de Protection Civile qui sauront vous orienter vers les organismes les plus proches de votre domicile. Si ce dossier peut vous inciter à faire ce choix, notre pari est doublement gagné. |
Dossier mis à jour le 20 septembre 2011
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Nos articulations et nos muscles sont sollicités tout au long de la journée de manière plus ou moins importante selon les activités que l'on pratique. Pour bien les préparer et en prendre soin, il est important de faire une petite gym le matin.
Mr Geoffroy, kinésithérapeute sportif : L'idéal serait de consacrer un quart d'heure à ce type d'exercice, on appelle ça un exercice de tonification musculaire ou de gainage, c'est-à-dire mettre en jeu toute la musculature dans son ensemble.
Le muscle joue un rôle fondamental de soutien à notre squelette et à nos articulations. Des muscles toniques permettent de moins solliciter les articulations et d'éviter une usure précoce.
Mr Geoffroy : Le risque à long terme est effectivement d'user de plus en plus ses articulations si l'on ne se ménage pas. Et après on ne peut plus se faire plaisir dans la vie de tous les jours par rapport à ce qu'on a l'habitude de faire.
Inutile d'attendre de souffrir de douleurs articulaires, ligamentaires ou musculaires pour prendre soin de soi. Avant l'effort ou après, pour favoriser la récupération. L'utilisation d'un baume chauffant permet de favoriser la décontraction musculaire, mais si la douleur persiste, il est conseillé d'aller consulter un médecin qui vous dirigera vers un kinésithérapeute ou un ostéopathe.
Mr Geoffroy : Le plus important c'est tout d'abord de déterminer la cause de la douleur articulaire. Par exemple, dans le cas de surcharge pondérale, il faudra faire un effort en ce qui concerne l'hygiène alimentaire.
Si c'est un problème articulaire plus ciblé, il faut peut-être voir, si c'est un sportif, s'il n'y a pas un problème de surcharge d'entrainement ou de mauvaise habitude dans le cadre de cet entrainement.
Si on est sûr de connaître la cause des douleurs articulaires, on va déjà enlever tout ce qui provoque la douleur. Après on peut conseiller des soins, dans un premier temps au niveau kinésithérapeute ou ostéopathe et par la suite d'adapter une gym qui va permettre de diminuer les douleurs.
Mais peut-on continuer à pratiquer son sport si on ressent une douleur articulaire ou musculaire ?
Mr Geoffroy : La règle de la non-douleur est quelque chose de fondamental. Si la douleur apparait au bout d'une heure, je vais lui permettre de courir, de nager ou de faire son tour de bicyclette jusqu'à ce que la douleur apparaisse. Après l'idéal est de pouvoir varier les disciplines, c'est-à-dire que si c'est quelqu'un qui a mal a un genou, s'il a la possibilité de faire du canoë kayak ou s'il peut prendre du plaisir dans une autre discipline sportif il va avoir en quelque sorte la possibilité de reposer son genou.
Reportage de Florence Lemaire, le 6 juillet 2007
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http://fr.wikipedia.org/wiki/Sport
Le sport est un ensemble d'exercices, le plus souvent physiques, se pratiquant sous forme de jeux individuels ou collectifs pouvant donner lieu à des compétitions.
Le sport est un phénomène quasi universel dans le temps et dans l'espace humain. La Grèce antique , la Rome antique , Byzance , l'Occident médiéval puis moderne, mais aussi l' Amérique précolombienne ou l' Asie , sont tous marqués par l'importance du sport. Certaines périodes sont surtout marquées par des interdits.


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Définitions [ modifier ]


Le terme de « sport » a pour racine le mot de vieux français desport qui signifie « divertissement, plaisir physique ou de l'esprit » [ 1 ] . En traversant la Manche , desport se mue en « sport » et évacue de son champ la notion générale de loisirs pour se concentrer sur les seules activités physiques. La langue allemande admet le terme « sport » et sa définition anglaise en 1831 ; la France en fait usage pour la première fois dès 1828 [ 2 ] . Le sport, contrairement au terme desport , exclut les jeux de société ou jeux de l'esprit qui faisaient la joie d'un Gargantua [ 3 ] . La frontière entre jeux et sports n'est pourtant pas très claire. La Fédération française des échecs fondée en 1921 reçoit ainsi un agrément sportif du Ministère de la jeunesse et des sports en 2000 , mais uniquement parce qu'elle était une fédération « associée » au CNOSF [ 4 ] . Certaines pratiques traditionnelles posent également problème : sport ou jeu ? La question reste encore ouverte.
Le sport moderne se définit par quatre éléments indispensables :
- La mise en œuvre d'une ou plusieurs qualités physiques : activités d'endurance, de résistance, de force, de coordination, d'adresse, de souplesse, etc.
- Une activité institutionnalisée, ses règles tendent à être identiques pour l'ensemble de la planète
- Une pratique majoritairement orientée vers la compétition
- Une pratique fédérée (sous la tutelle d'une fédération)
Ces piliers qui mettent surtout en avant l'organisation des différentes disciplines sportives n'excluent nullement les pratiques comme le sport-loisir, le sport-aventure, le sport-santé, le sport scolaire ou l' éducation physique et sportive . Si la compétition est prédominante, il existe toutefois d'autres formes de pratique mettant plutôt en avant le plaisir, la santé, l'éducation ou l'épanouissement [ 5 ] .
Histoire [ modifier ]
Article détaillé : Histoire du sport .Débat historiographique [ modifier ]
La question de l'histoire du sport bute sur un débat qui oppose deux thèses.
Pour un courant de pensée, le sport est un phénomène universel, qui a toujours existé et partout sous des formes très diverses. Ce serait un « invariant culturel » (selon les termes de Frédéric Baillette, enseignant et directeur de la revue Quasimodo ). Cette thèse est notamment soutenue en 1991 par le médecin français Jean-Paul Escande ( Les avatars du sport moderne , in Ardoino, Brohm, Anthropologie du sport , Perspectives critiques, 1991) [ 6 ] . Cette thèse est implicitement soutenue par ceux qui parlent de « sport antique », de « sport médiéval », etc. Le médiéviste américain Charles Homer Haskins est le premier historien à utiliser le terme de « sport » dans le cadre d'une étude portant sur le Moyen Âge dans son livre The Latin Litterature of Sport ( 1927 ). Au début du XXI e siècle , Wolfgang Decker (Institut d'Histoire du Sport de l'École Supérieure du Sport de Cologne) et Jean-Paul Thuillier (directeur du Département des Sciences de l'Antiquité à l' École normale supérieure ) estiment que : « contrairement à ce que l'on estime souvent, le sport n'est pas né à Olympie , pas plus qu'il ne s'est éteint dans l' Attique ou le Péloponnèse . L' Égypte nous offre de nombreuses scènes sportives, entre autres de lutte, dès le 3 e millénaire avant notre ère, et les Romains, héritiers des Étrusques sur bien des points et en particulier dans ce domaine, ont peut-être créé le sport moderne, avec ses spectacles de masse, ses clubs puissants et ses enjeux financiers colossaux [ 7 ] . »
Pour un autre courant de pensée, le sport est un phénomène apparu à un moment précis de l'histoire et dans un contexte particulier : au sein de l'élite sociale de l' Angleterre industrielle du XIX e siècle. Cette thèse est notamment développée en 1921 par l'écrivain allemand Heinz Risse ( Soziologie des Sports , Berlin, 1921 et Sociologie du sport , Presses universitaires de Rennes, 1991) qui estime qu'« il est erroné de regarder le passé avec nos modes de pensée actuels et d'imaginer que les pratiques qui ressemblent à celles que nous connaissons peuvent se rapporter à cette appellation "sport" » [ 6 ] . Cette thèse est notamment soutenue par l'historien français Roger Chartier et par les sociologues Norbert Elias [ 8 ] , [ 6 ] et Pierre Bourdieu [ 9 ] , [ 10 ] . En 2000, l'historien du sport Philippe Lyotard (université de Montpellier) juge qu'« il y a une coupure très nette entre le sport moderne et le sport antique : c'est la notion de record (et donc de performance). Le record et la performance expriment une vision du monde qui est profondément différente entre les Grecs et les modernes. La culture du corps est différente. Pour les Grecs, cette culture est rituelle, culturelle, d'inspiration religieuse, pour les modernes, le corps est une machine de rendement [ 11 ] . »
À travers l'exemple des joutes au XV e siècle en France et en Espagne, Sébastien Nadot avance dans sa thèse intitulée Joutes emprises et pas d'armes en Castille, Bourgogne et France, 1428-1470 (soutenue à l'EHESS en 2009) que l'on peut effectivement parler de sport au Moyen Âge et que la plupart des historiens confondent la notion de naissance avec celle de démocratisation du sport quand ils évoquent son apparition seulement à partir du XVIII e siècle [ 12 ] . Mais une autre façon de résoudre la question est de forger la notion de « sport moderne » pour distinguer ce phénomène d'autres pratiques historiquement attestées. Dans une étude, une équipe de l'UFR-Stap de l'université de Bourgogne estime ainsi en 2004 que « Le sport moderne, (..) renvoie à l'idéologie de Coubertin , caractérisée par la compétition, la performance, l'entraînement dans des structures institutionnelles (fédérales et scolaires) afin de lutter contre l'oisiveté et les risques de dégénérescence psychologique et physiologique de l'homme » [ 13 ] . Cette notion de « sport moderne » est exposée par l'historien américain Allen Guttmann dans From Ritual To Record, The Nature of Modern Sports ( 1978 ). Auteur notamment de Sports: The First Five Millennia , Guttmann ne renonce pas à l'emploi du mot « sport » de l'Antiquité à nos jours.
Histoire [ modifier ]
Selon l'interprétation large de la notion, le sport est un phénomène universel dans le temps et dans l'espace humain, et, pour reprendre une maxime byzantine , « les peuples sans sport sont des peuples tristes » [réf. nécessaire] . Nombre de phénomènes qui paraissent récents, accompagnent en fait l'histoire du sport depuis l'origine : du professionnalisme au dopage , des supporters aux problèmes d' arbitrage .
La Grèce , Rome , Byzance , l'Occident médiéval puis moderne, mais aussi l' Amérique précolombienne ou l' Asie , sont tous marqués par l'importance du sport. Certaines périodes sont surtout marquées par des interdits concernant le sport, comme c'est le cas en Grande-Bretagne du Moyen Âge à l'époque Moderne. Interrogée sur la question, la Justice anglaise tranche ainsi en 1748 que le cricket n'est pas un jeu illégal [ 14 ] . Ce sport, comme tous les autres, figurait en effet sur des édits royaux d'interdiction régulièrement publiés par les monarques britanniques du XIe au XV e siècle . En 1477 , la pratique d'un « jeu interdit » est ainsi passible de trois ans de prison [ 15 ] . Malgré l'interdit, la pratique perdure, nécessitant un rappel quasi permanent à la règle.
Le sport est l'une des pierres d'angle de l'éducation humaniste du XVI e siècle . Les Anciens mettaient déjà sur le même plan éducation physique et intellectuelle. Pythagore était un brillant philosophe qui fut également champion de lutte puis entraîneur du grand champion Milon de Crotone . La Renaissance redécouvre les vertus éducatives du sport et, de Montaigne à Rabelais en passant par Girolamo Mercuriale , tous les auteurs à la base du mouvement humaniste intègrent le sport dans l'éducation (relire par exemple Gargantua ).
Chaque époque a eu son "sport-roi". L' Antiquité fut ainsi l'âge d'or de la course de chars . Pendant plus d'un millénaire, les auriges, cochers des chars de course, étaient des "stars" adulées par les foules dans tout l'Empire romain. Le tournoi , qui consiste à livrer une véritable bataille de chevaliers, mais « sans haine », fut l'activité à la mode en Occident entre le XI e et le XIII e siècle . Attention à ne pas confondre le tournoi et la joute équestre , version très allégée du tournoi. La violence du Tournoi cause sa perte, d'autant que le jeu de paume s'impose dès le XIII e siècle et jusqu'au XVII e siècle comme le sport roi en Occident. Ce jeu de raquettes embrase Paris , la France puis le reste du monde occidental. Le XVIII e siècle voit le déclin du jeu de paume et l'arrivée, ou plutôt le retour, des courses hippiques qui s'imposent comme le sport roi des XVIII e et XIX e siècles . La succession des courses hippiques fut âprement disputée car le nombre des sports structurés augmente spectaculairement dès la fin du XIX e siècle. Le football devient ensuite et reste encore aujourd'hui (2010) l'incontestable sport "numéro un" sur la planète.
Au-delà de ce tableau général coexistent des nuances régionales parfois très marquées. Ainsi, le football tient une place secondaire dans les pays de l'ancien empire britannique . En revanche, il cultive les autres sports que soutenait jadis la bonne société anglaise, du tennis au hockey sur gazon en passant par le rugby et le cricket . Le cricket a ainsi le statut national dans des pays comme l' Inde ou le Pakistan . De même, l'Amérique du Nord a donné naissance à plusieurs sports, le hockey sur glace et le basket-ball au Canada, le baseball et le football américain aux États-Unis , parvenant ainsi à échapper à la vague du football (appelé « soccer » en Amérique du Nord). En France , le sport roi de la fin du XIX e siècle est le cyclisme qui garde la palme jusqu'au triomphe du football , entre les deux guerres mondiales. Le rugby n'est pas parvenu à mettre fin à la domination de ces deux sports, freiné par une implantation trop régionale.
La puissance du mouvement sportif est aujourd'hui considérable. Une fédération internationale comme la FIFA a la capacité de modifier les règlements et d'exiger sa mise en application à la planète entière. Certains ont donc pu estimer que le sport proposerait ainsi un premier modèle de mondialisation réelle [réf. nécessaire] .
À l'inverse de cette structure centralisée, notons l'existence d'un mouvement sportif plus indépendant, notamment aux États-Unis . La NBA a des règles particulières distinctes de celles de la Fédération internationale de basket-ball . Sauf pour les Jeux olympiques pour lesquels c'est la FIBA qui est chargée des épreuves. Le baseball américain illustre encore plus fortement cette décentralisation : les deux ligues qui s'affrontent pour le trophée des World Series - Ligue américaine et Ligue nationale - ne suivent pas les mêmes règles du jeu.